18h, un léger crachin humidifie la foule qui s’agglutine devant la salle, le feu d’artifice pour le Lord Mayor nous aide à patienter.
Les portes s’ouvrent enfin, et, mis à part les pintes de bière tiède à bas prix, l’avantage des salles anglaises est de proposer un vestiaire!
Le public est très éclectique et super sympa, ce qui entre deux bières permet de discuter.
La première partie: mon Dieu quel duo! Un guitariste et une pin-up asiatique en nuisette, hauts talons et porte-jarretelles qui tape sur la batterie comme une hystérique.
La deuxième partie est très différente et surprend les tympans au début. Batterie, ordinateur et hip hop qui finissent par mettre le feu avec un remix de « Love in a void ».
Enfin, la déesse arrive et mis à part quelques nouveaux morceaux, c’est un festival avec une reprise des Doors, « Hello I love you ». Et après un rappel c’est un festival de pogos avec « Spellbound », « Hong-Kong garden »…
C’était plus que magique, une Siouxsie magnifique, une acoustique superbe et des Anglais festifs et déchaînés. Siouxsie à Londres, « il faut le voir pour le croire ».
Mais voilà, il est temps pour vous de retourner dans le monde des ténèbres et peut-être qu’à la prochaine lune je vous conterais la folie Damned.
[De notre envoyé spécial à Londres, J-M D]
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